绑定第一季
地区:其他
  类型:古装
  时间:2025-01-18 14:19:04
剧情简介

绑定Fox Rich, indomitable matriarch and modern-day abolitionist, strives to keep her family together while fighting for the release of her incarcerated husband. An intimate, epic, and unconventional love story, filmed over two decades.

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明星主演
罗大佑
方顺吉
布鲁斯斯普林斯汀
最新评论(919+)

常石磊

发表于4分钟前

回复 :莫塞斯(瑞安·奥尼尔 Ryan O'Neal 饰)并不是一个本分的商人,即使干的是推销圣经的行当,也并不能阻止他使用一些上不了台面的手段。一场车祸夺取了莫塞斯的情人的性命,情人留下的一个小女儿埃迪(塔图姆·奥尼尔 Tatum O'Neal 饰)成了莫塞斯的负担。在向肇事者要得200美元后,莫塞斯决定将埃迪送往她的姨妈家去。在路上,埃迪展现了她天才般的口才和推销才能,让莫塞斯大赚了一笔,这对假父女之间也产生了真感情。然而,得意忘形的两人不慎掉入了一个圈套之中。一番波折之后,有惊无险的二人终于抵达了终点,但看着即将离自己而去的埃迪,一种名叫“不舍”的情感充满了莫塞斯的内心。


王啸坤

发表于7分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


张娜拉

发表于4分钟前

回复 :影片讲述的是蒙古族父子两代“歌王”的故事,父亲是将长调带出草原走向世界的“老歌王”,儿子则是将流行音乐带进草原的“小歌王”。父子两人因为不同的音乐理念,对蒙古族音乐的传承和发扬问题产生了一系列矛盾。


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