古墓夺宝
地区:香港
  类型:军旅
  时间:2024-11-22 02:04:22
剧情简介

克拉克盖博在刚出道时跟性感女星简哈露合演的《莫街谋杀案》是他的成名作。二十年后由他自己重演同一角色,古墓女主角则换上热情的艾娃加德纳和冷艳的格雷斯.凯利。这个重拍版本将故事背景从东南亚的橡树林改到非洲大陆,古墓描写探险队员维多爱上歌舞女郎艾洛丝,迅速打得火热。但当人类学家唐纳带着他的妻子琳达出现时,维多却把爱情目标转向琳达,造成了无可挽回的三角悲剧。本片并不是导演约翰.福特的代表作,但他处理这个充满原野风味的三角爱情故事仍然虎虎生风,不乏戏剧性,而且安排了大量的狞猎动作和大自然景色来烘托爱情冲突,效果不错。

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明星主演
锦绣二重唱
游助
威尔史密斯
最新评论(938+)

程晓静

发表于8分钟前

回复 :吉姆(连姆·尼森 Liam Neeson 饰)曾经是为了海军陆战队卖命的神射手,退休之后,他来到了位于亚利桑那州边境的一座牧场之中,过起了离群索居的生活。一场意外中,吉姆目睹了一位名叫罗莎(特蕾莎·鲁伊斯 Teresa Ruiz 饰)的年轻母亲遭到墨西哥毒贩追杀的场面,临死之前,罗莎将自己年仅11岁的儿子米格尔(雅各布·佩雷斯 Jacob Perez 饰)托付给了吉姆。吉姆决定带着米格尔前往芝加哥,在那里,生活着米格尔其他的家人们,在此过程中,一向无牵无挂独善其身的吉姆和米格尔之间产生了真挚的亲情。旅途遥远,除了要照顾年幼的米格尔外,吉姆还必须应对在身后紧追不舍的毒贩们。


思小妞

发表于8分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


廖韦卓

发表于3分钟前

回复 :戴维斯和他的妻子一直希望能够生一个婴儿,几个月后他们终于如愿以偿,但……他们生出来的却是一个食人活尸!惊慌不已的戴维斯顿时陷入了混乱,是保护婴儿继续存活,还是下毒手杀害它,这让他进退两难。随着警方的到来,戴维斯终于下定决心……


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