春暖花开旧版入口
地区:欧美
  类型:У԰
  时间:2025-04-10 11:27:41
剧情简介

上世纪七八十年代的河南古城安阳,春暖某个五口之家的姐姐(张静初)、春暖哥哥(冯瓅)和弟弟(吕玉来)在社会剧烈转型时期,踏上不同的人生之路。姐姐二十出头,虽看起来清瘦文静,内心却刚烈执拗,为实现梦想可以将自己豁出,无奈现实无情,经过多次挫败后她学会听天由命;哥哥二十三四岁,因小时得病落下轻微脑疾,父母对他的关爱皆多一层,经人介绍与精明的跛脚姑娘结婚后,他过上自己很满意的日子;弟弟十七八岁,敏感、忧郁,内心世界过于丰富,因为某件事被父亲赶出家门后,开始在外面找寻属于自己的生活,然而所获只是时间将其改造得面目全非。

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明星主演
Фң
吴梵
郑伊健
最新评论(635+)

詹姆斯布朗

发表于7分钟前

回复 :萨奇和瓦苏约会,被警察阿尔文盯上,在车里发生了不可描述的事……


裘盛戎

发表于6分钟前

回复 :影片的主人公是年近30岁的5位年轻人,他们终日游手好闲,热衷于恶作剧并沉溺于梦幻般不切实际的计划里。其中最年长的浮士德让最年少的摩拉德的妹妹桑德拉怀了孕,基于责任心及周围人的力劝而结了婚。浮士德在一家古董店工作,但因为恶习不改企图勾引店主的老婆而被解雇。一天,桑德拉得知浮士德带着一名舞娘到一家廉价的旅馆过夜,于是第二天她带着孩子离家出走;狼狈的浮士德第一次感到桑德拉的重要性。于是和她的兄弟四人拼命寻找桑德拉的下落,终于找到桑德拉的浮士德一边遭到父亲的痛斥;一边恳求桑德拉的原谅。见到二人重修旧好的摩拉德在次日清晨不辞而别,踏上了自己的旅程。


赵彰赫

发表于2分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


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