在华沙起义爆发前不久,午夜一群当地的年轻人加入了地下组织,午夜不仅是为了履行爱国 义务,同时也开启了一段青春冒险,可以跟同龄人吹嘘还可以吸引女孩子。在地下组织培训时,他们边调情、炫耀,边制订计划,殊不知接下来的那个夏天将是他们生命的考验,而历史已经为他们做好了计划。 他们成为华沙起义战斗中最为勇敢的组织之一,共同见证了牺牲精神和英雄气概,也看见了残忍、背叛与谋杀;他们懂得了爱,也体会了什么叫仇恨。尽管他们不情愿,历史还是在他们成熟的过程中,给他们上了血腥残酷的一课……
在华沙起义爆发前不久,午夜一群当地的年轻人加入了地下组织,午夜不仅是为了履行爱国 义务,同时也开启了一段青春冒险,可以跟同龄人吹嘘还可以吸引女孩子。在地下组织培训时,他们边调情、炫耀,边制订计划,殊不知接下来的那个夏天将是他们生命的考验,而历史已经为他们做好了计划。 他们成为华沙起义战斗中最为勇敢的组织之一,共同见证了牺牲精神和英雄气概,也看见了残忍、背叛与谋杀;他们懂得了爱,也体会了什么叫仇恨。尽管他们不情愿,历史还是在他们成熟的过程中,给他们上了血腥残酷的一课……
回复 :1945年8月,日寇投降后,中共为促成国共合作,避免内战,应蒋介石(孙飞虎 饰)之邀,毛泽东(古月 饰)只身飞往重庆,与蒋“共商国是”。毛的毅然到来令蒋手足无措,不得已在官邸会见毛,谈判拉开帷幕。蒋和谈是假,积极筹备内战是真。毛在渝期间,广泛接触各党派民主人士,宣传共产党的主张。周恩来(黄凯 饰)、王若飞(董钰刚 饰)和国民党的谈判非常艰难,针对蒋介石提出的苛刻条件,毛泽东本着顾全大局的方针,在原则问题上作出重大让步,一针见血地指出蒋密发的《剿匪手本》阴谋,令蒋十分尴尬难堪。经过反复谈判,双方终于在“纪要”上签字,九龙坡机场上,毛泽东向欢送的人们挥起了巨手......
回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000
回复 :国内知名女设计师袁元(俞飞鸿 饰),日本留学归国,气质出众,事业成功,多年的合伙人雷鸣也对她照顾有加。然而,看似人生赢家的袁元,内心深处却始终隐藏着一个难以放下的心结。在遇到事业瓶颈时,一位日本女孩(木下彩音 饰)的突然出现打破了袁元原本风平浪静的生活,一段关于北海道的神秘往事也随之展开……